jeudi 24 novembre 2011

Resident Evil – Code Veronica, de S.D. Perry

Quatrième de couverture:
Capturée au Q.G. administratif d'Umbrella, à Paris, Claire est débarquée à l'île de Rockfort, une des bases de la compagnie pharmaceutique. A peine est-elle arrivée que l'île subit un raid aérien. Claire se retrouve une fois de plus aux prises avec les zombies et autres épouvantables créatures sorties des sinistres laboratoires d'Umbrella. Heureusement, il y a Steve, lui aussi injustement emprisonné.
Tous les deux affrontent de redoutables ennemis – dont Alfred Ashford et Alexia, sa géniale et diabolique jumelle. Avec, en prime, un petit détour par l'Antarctique. Frissons garantis...

Mon avis:
Mon frère et ma belle-sœur m'avaient offert ce bouquin à Noël il y a cinq ou six ans, et je n'avais jamais eu l'occasion de le lire... Je m'y suis donc mise, et l'ai dévoré en quelques jours!
Pour ceux qui connaissent le jeu, on a vraiment l'impression de s'y retrouver, avec les zombies et autres créatures infectées par le virus T, mais également les énigmes laissées par Umbrella dans les lieux qu'elle dirige...
L'écriture est bien menée ainsi que le récit qui nous laisse très rarement nous ennuyer. Certaines parties sont (très) prévisibles, mais on arrive quand même à avoir quelques surprises, et de taille! La "happy end" dont on se doute n'est pas parfaite, ce qui rajoute des bons points à ce livre (je n'aime pas les "happy end" parfaites, ça craint! ... enfin, la plupart du temps).
En plus c'était le numéro six (éditions Fleuve noir, ils font souvent beaucoup de suite vu que ce sont souvent des reprises de séries, et dans ce cas, de jeux vidéos), et pourtant on pourrait le lire tout seul que ça ne changerait rien. Bon, moi, vu que j'ai pas mal aimé, je vais essayer de lire les autres aussi (il y en a dix en tout je crois).
Bon, et je suppose que je n'ai pas besoin de préciser que c'est gore, bien sûr... Enfin ce n'est pas aussi gore que Peur primale par exemple, parce que c'est beaucoup moins réaliste. Bon, en même temps, c'est vrai que moi j'ai grandi avec les jeux vidéos Resident Evil et Silent Hill, donc forcément, je suis un peu vaccinée, et ça ne m'a rien fait du tout! Au contraire, le fait d'avoir joué aux jeux m'a permis de mieux m'imaginer ce qui se passait tout au long du livre, et j'ai trouvé que c'était un grand plus!

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