Quatrième de couverture:
Tout commence le jour où Sophie Amundsen, une jeune fille de quinze ans, trouve dans sa boîte une lettre qui lui est adressée, et sur laquelle n'est inscrite qu'une seule phrase : "Qui es-tu ?". Une seconde enveloppe lui parvient, et à l'intérieur un nouveau petit mot : "d'où vient le monde ?". L'expéditeur de ces lettres reste un mystère, mais les questions posées intriguent Sophie. C'est le début d'une étrange correspondance qui va plonger la jeune fille en quête de réponses dans une longue visite des principales figures de la philosophie...
Ce roman initiatique à conquit des millions de lecteurs à travers le monde. Sans doute parce que Le monde de Sophie ne donne pas de réponses pré-fabriquées mais parce qu'il pose des questions, de vraies questions.
Mon avis: Sur la liste de livres à avoir lus avant d'entrer en terminale littéraire, il y avait Le Monde de Sophie, qui était recommandé comme introduction aux cours de philosophie. J'avais donc acheté ce bouquin, mais je ne l'avais jamais lu. Bah, faut me comprendre, 617 pages d'un livre qui fait réfléchir, ça rebute aussi...
Bref, après tout ce temps passé dans des placards et baladé dans les déménagements, je me suis dit qu'il était temps qu'au moins j'essaie de le lire... Et j'ai bien eu raison!
Enfin bon, je dirais qu'il y a du bon et du mauvais dans ce livre, mais dans l'ensemble, il est à lire!
Les parties philosophiques sont très intéressantes et très bien fichues. Elles sont censées être adressées à une adolescente de quatorze ans, du coup c'est très accessible à mon goût. Même si ça fait quand même réfléchir. Pour ce qui est des parties plus narratives par contre, je dirais que sans être carrément "mauvais", c'est à retravailler. Quant au personnage de Sophie, je dirais que je l'ai perçu comme une peste insolente qui ne sait pas rester à sa place, et qui, pendant les discussions avec le philosophe, tient le rôle de potiche qui ne sert pas à grand-chose. Bref, je ne peux pas dire que je me sois vraiment attachée au personnage principal! :-D
Du reste, l'intrigue (je peux même dire l'énigme) quant à Hilde et son père est très bien ficelée. Elle nous tient tout de même en haleine jusqu'à la fin, même si ça part un peu en cacahuète au terme de l'histoire (j'ai aimé la toute fin, la scène dans le jardin, mais tout le moment entre l'instant où on découvre qui est Hilde et cette scène, j'ai trouvé que c'était un peu n'importe quoi... j'ai pas fait de spoiler, là, si? ... Nan, je crois pas... ^^).
En gros, les 450 premières pages sont passées comme une lettre à la poste, mais pour les autres, bien qu'intéressantes, j'avais tout de même hâte que l'histoire se termine.
Tout commence le jour où Sophie Amundsen, une jeune fille de quinze ans, trouve dans sa boîte une lettre qui lui est adressée, et sur laquelle n'est inscrite qu'une seule phrase : "Qui es-tu ?". Une seconde enveloppe lui parvient, et à l'intérieur un nouveau petit mot : "d'où vient le monde ?". L'expéditeur de ces lettres reste un mystère, mais les questions posées intriguent Sophie. C'est le début d'une étrange correspondance qui va plonger la jeune fille en quête de réponses dans une longue visite des principales figures de la philosophie...
Ce roman initiatique à conquit des millions de lecteurs à travers le monde. Sans doute parce que Le monde de Sophie ne donne pas de réponses pré-fabriquées mais parce qu'il pose des questions, de vraies questions.
Mon avis: Sur la liste de livres à avoir lus avant d'entrer en terminale littéraire, il y avait Le Monde de Sophie, qui était recommandé comme introduction aux cours de philosophie. J'avais donc acheté ce bouquin, mais je ne l'avais jamais lu. Bah, faut me comprendre, 617 pages d'un livre qui fait réfléchir, ça rebute aussi...
Bref, après tout ce temps passé dans des placards et baladé dans les déménagements, je me suis dit qu'il était temps qu'au moins j'essaie de le lire... Et j'ai bien eu raison!
Enfin bon, je dirais qu'il y a du bon et du mauvais dans ce livre, mais dans l'ensemble, il est à lire!
Les parties philosophiques sont très intéressantes et très bien fichues. Elles sont censées être adressées à une adolescente de quatorze ans, du coup c'est très accessible à mon goût. Même si ça fait quand même réfléchir. Pour ce qui est des parties plus narratives par contre, je dirais que sans être carrément "mauvais", c'est à retravailler. Quant au personnage de Sophie, je dirais que je l'ai perçu comme une peste insolente qui ne sait pas rester à sa place, et qui, pendant les discussions avec le philosophe, tient le rôle de potiche qui ne sert pas à grand-chose. Bref, je ne peux pas dire que je me sois vraiment attachée au personnage principal! :-D
Du reste, l'intrigue (je peux même dire l'énigme) quant à Hilde et son père est très bien ficelée. Elle nous tient tout de même en haleine jusqu'à la fin, même si ça part un peu en cacahuète au terme de l'histoire (j'ai aimé la toute fin, la scène dans le jardin, mais tout le moment entre l'instant où on découvre qui est Hilde et cette scène, j'ai trouvé que c'était un peu n'importe quoi... j'ai pas fait de spoiler, là, si? ... Nan, je crois pas... ^^).
En gros, les 450 premières pages sont passées comme une lettre à la poste, mais pour les autres, bien qu'intéressantes, j'avais tout de même hâte que l'histoire se termine.
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