jeudi 24 novembre 2011

Les Fourmis, de Bernard Werber

Quatrième de couverture:
Le temps que vous lisiez ces lignes, sept cents millions de fourmis seront nées sur la planète. Sept cents millions d'individus dans une communauté estimée à un milliard de milliards, et qui a ses villes, sa hiérarchie, ses colonies, son langage, sa production industrielle, ses esclaves, ses mercenaires... Ses armes aussi. Terriblement destructrices.

Lorsqu'il entre dans la cave de la maison léguée par un vieil oncle entomologiste, Jonathan Wells est loin de se douter qu'il va à leur rencontre. A sa suite, nous allons découvrir le monde fabuleusement riche, monstrueux et fascinant de ces "infra-terrestres", au fil d'un thriller unique en son genre, où le suspens et l'horreur reposent à chaque page sur les données scientifiques les plus rigoureuses. Voici pour la première fois un roman dont les héros sont des... fourmis !

Mon avis: Bon, c'était la dernière chance que je donnais à Werber, maintenant j'arrête!
Ok, l'idée d'une histoire sur les fourmis est originale. Ok, l'intrigue est bien ficelée.
En fait, il y a plusieurs histoires parallèles dans ce bouquin: plusieurs histoires de fourmis qui sont toutes liées, et une histoire d'humains. J'avoue que c'est l'histoire d'humains qui m'a fait tenir jusqu'au bout. Franchement, elle m'a tenu en haleine, même si je me doutais un peu de la fin. Vraiment bien foutue!
Par contre, les histoires de fourmis... bah c'est pas inintéressant, mais franchement, qu'est-ce que c'est ch****! C'est sympa les fourmis, mais bon, c'est vite saoulant! Du coup, y'a des longueurs. Y'a même quasi que ça!
J'avais le bouquin avec la trilogie, et même si j'ai eu envie de finir le premier, je n'ai vraiment pas envie de lire les autres.
Finalement, tout ce que ce bouquin aura fait, c'est risquer de me filer une phobie des fourmis que je n'avais pas le moins du monde avant...

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