dimanche 19 mai 2013

Mon bel oranger, de José Mauro de Vasconcelos

Quatrième de couverture:
A cinq ans, Zézé a tout appris seul : la lecture, les grossièretés de la rue, les trafics de billes, les tangos pleins de sentiments du marchand de chansons.
Tout le monde le bat, sauf sa sœur Gloria. Ange ou diable, il a un secret dans le cœur : un petit pied d'oranges douces, le seul confident de ses rêves, qui l'écoute et lui répond.
 
Mon avis: Après une soixantaine de pages, je n'étais toujours pas emballée, mais mon chéri m'a dit que sisi, il était merveilleux ce livre ; je suis donc allée au bout.
Alors, premièrement, je n'ai pas été emballée pendant la plus grande partie du bouquin, sans bien comprendre vraiment pourquoi. Peut-être avant tout parce que j'ai mis beaucoup de temps à savoir qui est qui, et de repérer les liens entre les personnages.
Ensuite, le majeur problème est que ça m'a donné cette impression que certaines œuvres donnent parfois, c'est-à-dire un sentiment d'acharnement sur un personnage, en l'occurrence Zézé. Et c'est le genre de choses qui me gonflent carrément.
En fait, là, ce qui m'a convaincue, c'est le fait que c'est tiré de l'histoire réelle de l'auteur, donc le sentiment d'acharnement est dû au sort, au destin, ou a qui vous voudrez, mais pas à l'auteur.
Et à vrai dire, j'ai quand même pleuré à la fin, donc c'est que ça m'a tout de même touchée. Mais j'ai toutefois eu du mal à comprendre si, à la fin, Zézé avait raison, ou bien s'il se faisait des idées, et du coup ça m'a un peu gâché l'émotion, si je puis dire.
En résumé, je suis plutôt déçue, mais je ne dis pas pour autant que c'est un mauvais bouquin, ce n'était juste pas à mon goût.

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