dimanche 23 septembre 2012

Dead zone, de Stephen King

Quatrième de couverture:
Greg Stillson, candidat à la Maison-Blanche, est un fou criminel, grand admirateur de Hitler et d'autres maniaques de l'extermination. Quand il sera élu, ce sera l'Apocalypse. Un seul homme le sait, John Smith, car il est doué d'un étrange pouvoir qui lui attire pas mal d'ennuis : il devine l'avenir. Il n'y a rien de réjouissant à cela. Il peut prévoir les accidents, les catastrophes, les hécatombes. On ne le croit pas, ou alors on le croit trop. John Smith n'a encore rien dit de ses prémonitions. Pourtant, le candidat à la présidence des États-Unis est un dément. Que fera John Smith pour son pays ?

Mon avis: Voici un Stephen King qui m'a bien étonnée, et pas vraiment dans le bon sens...
Tout d'abord, je n'ai pas vraiment retrouvé la patte de S. King. Cette angoisse qui me prend normalement à un moment ou à un autre dans chacune de ses œuvres n'était pas présente ici. Un peu dommage...
Ensuite, niveau écriture, c'était également décevant. D'une part des erreurs ou des choses bancales, qui étaient à mon avis dues à la fois à l'écriture de base, mais également à l'édition et à la tradition. Et d'autre part le style en lui-même, qui n'était pas à mon goût.
En-dehors de cela, ma foi l'histoire et les personnages sont sympathiques, et je ne vois pas trop ce que je peux en dire de plus.

Adaptation cinématographique: J'ai vu le film, mais ne m'en souviens pas trop hormis le fait qu'il ne m'avait pas plus. Je ne peux donc pas me prononcer quant à l'adaptation en elle-même.
Par contre, j'ai suivi les cinq premières saisons de la série télévisée, et je dois dire que j'ai été fortement surprise à la lecture du livre, qui ne partage pas grand-chose en commun avec la série. Je dois dire qu'en tant qu'adaptation, c'est du grand n'importe quoi (même en tenant compte qu'adapter en série et encore plus difficile qu'en film). Cependant, je tiens à préciser que j'ai bien aimé la série (mis à part la saison 6, qui démarrait tellement mal que je n'ai même pas eu le courage de continuer).

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