mardi 20 mars 2012

The constant princess, de Philippa Gregory

Quatrième de couverture:
Desire. Destiny.
And a choice that will change history.

Katherine of Aragon is betrothed at the age of three to Prince Arthur, son and heir of Henry VII of England. She is raised to be Princess of Wales, and knows it is her destiny to rule that far-off, wet, cold land.
Her faith is tested when her prospective father-in-law greets her arrival with a great insult; Arthur seems little better than a boy; the food is strange and the customs are coarse. Slowly she adapts to the first Tudor court, and life as Arthur's wife grows ever more bearable. Unexpectedly in this arranged marriage, a tender and passionate love develops.
But when the studious young man dies, she is left to make her own future: how can she now be queen, and found a dinasty? Only by marrying Arthur's young brother, the sunny but spoilt Henry.

'Historical fiction at its best'
Mail on Sunday

'Gregory brings to life the sights, smells, textures and emotional landscape of 16th-century England'
Kate Mosse, Financial Times

Mon avis: Ce livre précède The Other Boleyn girl, mais il est tout de même assez différent de ce dernier. Alors que je n'ai pas pu lâcher l'histoire des Boleyn, ce tome m'a perdue à deux reprises, mais les deux fois pendant un bon moment: pendant la période à Ludlow, avec les histoires racontées par Catalina, qui ne m'ont pas toujours parues indispensables; et tout ce qui concerne la bataille contre les français (bien que les éléments concernant les écossais m'a plu).
En dehors de ces moments, j'ai tout de même été bien accrochée tout du long. C'est intéressant de voir pourquoi et comment Katherine est devenue ce qu'on voit d'elle pendant la période du King's Great Matter, et à quel point on retrouve une partie de la personnalité de sa future fille (Mary Tudor) en elle jeune. C'est aussi très enrichissant de pouvoir en apprendre plus sur ses parents, qui ont l'air d'avoir été de sacré personnages également.
Dans un autre registre, le point de vue adopté par la romancière me paraît à la fois plausible (dans le fait que Katherine aurait menti toute sa vie), et à la fois un peu trop romancé (l'histoire de la promesse sur le lit de mort). C'est malheureusement une des nombreuses questions que pose l'Histoire, et à laquelle nous n'aurons jamais de réponse.
En attendant, je suis toujours plus fascinée et admirative de cette femme qu'était Katherine of Aragon, et je vous conseille ce livre si vous êtes passionnés de cette dynastie comme moi (et que vous n'avez pas peur de lire en anglais, car malheureusement celui-là n'a pas encore été traduit en français).

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