Titres des différents volumes :
- L'âme du mal
- In tenebris
- Maléfices
Quatrième de couverture du premier tome :
- L'âme du mal
- In tenebris
- Maléfices
Quatrième de couverture du premier tome :
Pas
plus que sa jeune acolyte, le profileur Brolin ne pense que les serial
killers reviennent d'outre-tombe. Fût-il le bourreau de Portland qui
étouffait et vitriolait ses victimes avant de les découper. Mais le
bourreau est mort et le carnage se poursuit. Le nouveau tueur agit-il
seul ou fait-il partie d'une secte ? Pure sauvagerie ou magie noire ?
Brolin
a peur. Cette affaire dépasse tout ce qu'on lui a enseigné. S'immerger
complètement dans la psychologie d'un monstre, le comprendre afin de
prévoir ses crimes, devenir son double, tels sont les moindres risques
de son métier. Peut-on impunément prêter son âme au mal ?
"Un rythme dynamique, des personnages attachants, des rebondissements incessants."
Le Monde des livres
Cet ouvrage a reçu le prix Sang d'Encre
Mon avis:
Une très bonne trilogie ma foi! Si toutes les œuvres de Chattam ne
m'ont pas plu, là je retrouve le plaisir que j'avais ressenti lors de la
lecture du Cycle de l'Homme et de la Vérité!
Je
m'attendais à plus de liens entre les différents livres, et j'ai été un
peu déçue de ce point de vue-là, mais cela ne m'a pas pour autant gâché
la lecture.
J'ai
préféré les deux premiers, alors qu'ils ne m'ont que très peu surpris,
et moins le dernier qui pourtant a fait planer le doute jusqu'à la
révélation finale. Allez savoir... Attention cependant, je dois vous
prévenir que si vous êtes arachnophobe, comme moi et beaucoup d'autres,
vous ne devriez peut-être pas lire ce dernier roman, à moins d'être
capable de prendre du recul pour ne pas faire trop de cauchemars tant
que vous lirez le livre! Je ne sais pas trop comment j'ai fait, mais
pour ma part j'ai réussi, pas un seul mauvais rêve! :D
Petit
détail tout de même qui m'a dérangé, et ce dans les trois romans, c'est
la tendance qu'a Maxime Chattam à créer ce que j'appellerais du "faux
suspense". Cela correspond aux moments où il vous fait comprendre que
l'un des personnages vient d'avoir une révélation (que ce soit une
preuve concrète ou dans son raisonnement), et qu'il vous laisse en plan
en fin de chapitre pour ne vous révéler la chose qu'une dizaine de pages
plus tard. Disons que si c'est bien fait, ça ne me dérange pas, mais en
l'occurrence ça fait juste "m'as-tu-vu". Le reste du temps, on suit les
personnages pas à pas, sauf dans ces moments-là et seulement à ces
moments-là. C'est agaçant, mais à un point...C'est comme si on tendait
un morceau de viande à un chien affamé juste pour le voir essayer de
l'attraper, tout en le laissant pile à une distance où le chien ne
pourra jamais le chopper. Bon, j'exagère, ça c'est complètement cruel,
mais vous avez compris l'idée. :D
Enfin,
à part ce détail crucial et certaines tournures de phrases qui m'ont un
peu fait tiquer (heureusement pas trop souvent), j'ai passé un très bon
moment avec ce Joshua Brolin, a qui on s'attache très rapidement.
Une bonne pioche que je vous conseille donc! :)
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