Dans
la rue déserte d'une ville ravagée par la guerre, Marie s'effondre,
touchée par une balle alors qu'elle s'apprêtait à rejoindre Steph. Leurs
retrouvailles devaient sceller leur réconciliation et l'aveu d'un amour
partagé. Luttant contre la mort, la jeune femme ne désire plus qu'une
chose : transmettre un message à Steph pour lui dire qu'elle venait et
qu'elle l'aime.
D'une
écriture sèche et brûlante, Andrée Chedid raconte l'agonie de Marie et
scande l'absurdité de la guerre, qui fait gémie les corps et sépare les
amants.
Mon avis: Que dire de plus que ce que cette quatrième de couverture ne fait déjà?
Que
c'est une lecture assez étrange que de suivre l'agonie d'une personne,
on se demande comment cela peut durer plus de cent pages, et puis
finalement, quelques rares personnages secondaires, avec leur propre
histoire parallèle, se glissent dans le décor, et les pages passent
rapidement.
On
comprend rapidement que le propos n'est pas cette agonie, mais plutôt la
force de l'amour face à l'insouciance de la guerre, cette chose stupide
dont sont capables les Hommes.
Oui, mais finalement, ces Hommes, ils sont également capables de tellement de bien...
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